::.index.:: ::.index.::

Arrêtons de nous cacher la vérité arrêtons de fuir le monde attend.
Les mots me sont un obstacle. Plus j'en connais et moins j'en utilise. J'aimerai pouvoir m'en servir mais ils ne me viennent pas à l'esprit.
Ma tête est le théâtre de mes pensées qui s'affrontent sur la scène de ma raison.
Attendre une chose dont on connaît déjà l’issue.

________________________________________________________________________________________Contact

Je ne me prends pas pour quelqu'un d'exceptionnel parce que concrètement je ne suis pas avantagé.
Je crois que tout le monde peut se prendre pour un philosophe ça ne coûte rien, tant que l'on est à l'écoute et ouvert à tout ce qui nous contredit.
J'ai si souvent souhaité ma mort que je ne serrai pas surpris si à mon dernier soupir elle m'accueillait comme une amie intime.
Il n'est pas facile de dire aux gens que l'on est pas ce qu'ils s'imaginent. On est plutôt tenté d'essayer d'y parvenir. Donnez-moi des ailes et je serai un oiseau. Enlevez-moi mes ailes et vous me sauverez.

 

Ce qui me hante est l'idée que je ne peux écrire sans que mes mots ne soit de moi mais d'une source inconnue de déjà lu.
Souvent je vois le monde comme quelqu'un qui serait tombé sur terre accidentellement. 2 + 2 font 4 et je me demande, et après ?
Je n'ai aucune inspiration. Mon cœur bat, j'ai du souffle, mais je n'ai aucune inspiration.
Mentir me permet de voir combien mon honnêteté est grande. En disant la vérité je crains la personne qui est en face de moi. En mentant, je l'affronte. Et en faisant cela je me sens mal...

________________________________________________________________________________________Contact

Il y a des démons que je combattrais et d'autres qui fusionneront avec mon corps.
Il faut désirer vivre pour ne pas être tenter de vouloir mourir.
Car je suis incapable de dire comment l'amour d'un père se manifeste pour son enfant. Le mien ne me l'a pas appris.
Quand je pense à l’espace, je me perds dans cette pensée, j’oublie tout ce qui est à ma portée pour ne penser qu’à tout ce qui ne l‘est pas, comme l’espace, infini. Si je m’arrête à la théorie du Big-Bang je n’arrive pas à imaginer ce qu’il pouvait y avoir avant le Big-Bang. Et ce qu’il y a après la mort me semble être un même mystère. J’insiste sur un même mystère, car j’ai la sensation que la connaissance de ces deux mystères cachent une même chose, liées par je ne sais quoi, d’inconcevable pour l’Homme.

 

L'Ecriture, "est" les mots que je puise dans ma tête. Les phrases sont ces mots que j'enchaîne. Et cet enchaînement n'est pas forcement personnel. C'est pour cela que je tente d'être le plus fidèle possible à moi-même pour que ce que je lise définisse vraiment ce que je suis.
A chaque fois que je m'endors, je suis heureux de m'en aller là où je vis pleinement, c'est à dire dans les rêves.
J'ai peur d'altérer mes souvenirs en me les remémorant. Même quand ils émergent d'eux-même, c'est ma conscience d'aujourd'hui qui les accueille.
S’ouvrir à quelqu’un, s’ouvrir à soi-même, s’ouvrir au monde, pour se fermer à quelqu’un, se fermer à soi-même, se fermer aux maux.

________________________________________________________________________________________Contact

On a pas tous les jours 20 ans, juste 365 jours, mais ça n’arrive qu ‘une seule fois, lorsque l’on a 20 ans.
Le regard d’un enfant qui se pose sur vous et lorsque vous apercevez son âme il est trop tard.
Quand vous serez dans les étoiles, n'oubliez pas la terre le monde des gangsters.
L'espace est un immense canular dont l'Homme se croit le pionnier bénéficiaire.

 

Face à moi il y a une tristesse qui remonte du fin fond de mon enfance, elle se calque sur tous mes sentiments. C’est ma compagne que je le veuille ou non.
Mon coffre recèle d’immenses richesses. Des richesses de bonheur, mais aussi des richesses de malheur. Dans l’obscurité toutes prennent forment.
Il y a des gens qui ne sont pas facilement remplaçable mais on peut très bien se passer.
Si je suis fou, j’écrirais comme tel.

________________________________________________________________________________________Contact

Je tiens à la vie parce qu’elle est palpable. Si j’y mets fin, qui sait si ce n’est pas cela qui me manquera le plus.
Quoi de plus terrible qu’une personne qui en aime une autre, qui en aime une autre. J’aime, elle aime. L’aime t’il ?
Il y a trop de champs de batailles en moi. Trop de guerres, qui ont lieux en ce moment même. Je veux que ça cesse. Je ne veux plus me battre. Pour rien.